Cette page est une analyse personnelle de l’histoire de la micro-informatique familiale. Cette analyse, qui ne se veut pas exhaustive, est juste le reflet de mon ressenti tel que je l’ai vécu durant mon enfance. J’ai documenté cette page et l’ensemble de mon site, à l’aide de photos de ma collection et de documents tirés de livres et de journaux d’époque. N’hésitez pas à échanger avec moi en postant des commentaires. Si vous avez des objets en rapport avec cette période (années 70 à début 90) et avec mes sujets de recherche, n’hésitez pas à me contacter.
Les années 80 ont connu la naissance de la micro-informatique familiale. Elle est apparue opportunément au moment où l’informatique a commencé à bénéficier de la miniaturisation des circuits électroniques (entamée dans les années 70) avec le développement des micro-processeurs. Difficile à ce moment-là de préjuger de la place que prendrait l’informatique de nos jours (lire à ce sujet : Anticipation : l’informatique des années 2000 imaginée en 1980).
La miniaturisation des composants n’a pas bénéficié qu’aux ordinateurs mais également à la plupart des objets de notre quotidien : automobiles, électroménager, hifi, montres, machines à calculer… Certaines technologies courantes de nos jours ont été développées dans les années 80 : écran LCD, smart swatch, tablette tactile… Même les Google Glass :
L’informatique avant la naissance des micro-ordinateurs
Avant la micro-informatique et les micro-ordinateurs, la grosse informatique, coûteuse et inaccessible aux PME, dominait le marché.
En 1965, le nombre d’ordinateurs utilisés aux Etats-Unis est estimé à environ vingt mille, la plupart fabriqués par IBM (International Business Machines).
Le premier micro-ordinateur
Le Micral-N est certainement le premier micro-ordinateur commercialisé. Conçu en 1973 par François GERNELLE de la société française (Cocorico) R2E, fondée par André Truong, le Micral-N est doté d’un microprocesseur Intel 8008 cadencé à 500 kHz. Aucun clavier ou écran : la communication homme-machine est établie par le biais d’interrupteurs et de voyants lumineux.
Forces en présence sur le marché de la micro-informatique au début des années 80
En 1981, Apple et Tandy tiennent chacun 21% du marché, Commodore 12%, Atari 10%, IBM 7% et Texas Instruments 6%. Le reste du marché est atomisé entre une myriade de constructeurs à l’image de la naissance de l’automobile. Le marché est florissant mais déjà les faillites sont annoncées…
Micro-informatique professionnelle : naissance d’un standard
IBM sort son premier PC (acronyme de Personal Computer) en 1981 : le 5150. Doté d’un processeur Intel 8088 cadencé à 4,77 MHz, il dispose de 16 Ko de mémoire vive, d’un lecteur 5″1/4 de 160 Ko. IBM a choisi le système d’exploitation MS/DOS ainsi que le BASIC de MICROSOFT (société nouvelle sur ce marché) n’ayant pu s’entendre avec DIGITAL RESEARCH (qui dominait pourtant le marché des systèmes d’exploitation à l’époque). L’architecture retenue par IBM pour son PC étant ouverte (utilisation de composants standards, connecteurs d’extension libres…), des constructeurs concurrents ont commencé dès 1982 à commercialiser des “clones” du PC à des prix inférieurs à ceux d’IBM : les “compatibles” IBM PC. A cette époque la compatibilité des clones, imparfaite, était mesurée à l’aide d’un pourcentage…
IBM a créé un standard de fait qui a été rapidement adopté par ses concurrents et par l’ensemble du marché de l’entreprise et des administrations. IBM et ses PC sont des marques qui rassurent le chef d’entreprise et le développeur de logiciels qui ont besoin de pérennité dans leurs investissements.
La micro-informatique familiale
Les PC d’IBM, destinés aux entreprises et administrations, étant encore trop chers pour les particuliers, quelques constructeurs (au premier rang desquels figuraient TANDY, TEXAS INSTRUMENTS, SINCLAIR, COMMODORE) sentant que le marché était mûr ont commercialisé des micro-ordinateurs 8 bits à destination du grand public à des prix nettement plus abordables que les PC : TRS-80, TI-99/4A (mixant 8 et 16 bits), ZX81, VIC 20… (cf Historique des ordinateurs).
Les précurseurs : une informatique d’initiés
Quelques précurseurs ont développé, dans les années 70, des machines personnelles. La plupart de ces machines étaient vendues en kit à assembler soi-même voire à souder (comme le Micro-Systèmes 1 ou le ZX 80 et le ZX81). Le projet le plus connu étant l’APPLE I conçu en 1976, selon la légende dans leur garage, par Steve WOZNIAK et Steve JOBS, fondateurs par la suite de Apple Computer. Environ 200 exemplaires de cette machines sont sortis de ce garage. En 1977, ils récidivent avec l’Apple II.
Pour les machines montées en usine, il fallait accepter de mettre la main dans le cambouis pour régler des problèmes de compatibilité entre l’ordinateur (répondant souvent à des standards américains ou britanniques) adapté à la va-vite au marché français et le téléviseur familial doté d’une connectique Péritel franco-française…
Logiciels et presse informatique
D’autres, comme Bill GATES, ont développé les systèmes d’exploitation. Parallèlement, les premières consoles de jeu ont commencé à faire leur apparition.
La presse spécialisée s’est engouffrée dans le filon et témoigne aujourd’hui encore de la vitalité d’un secteur de l’informatique familiale en devenir.
Un micro-ordinateur familial
Généralement mono-blocs (c’est-à-dire clavier intégré à l’unité centrale), connectées au téléviseur familial (par le biais de la prise péritel), simples d’emploi, ces machines ont rapidement trouvé leur public. Au point que de nouveaux constructeurs ont très vite rivalisé d’innovations et se sont lancés à leur tour, tel AMSTRAD (à l’origine constructeur de chaînes hifi) en 1984 avec son CPC 464 : révolutionnaire avec 64 Ko de mémoire, un lecteur de cassette intégré, l’écran – clavier pour le prix du seul clavier chez certains de ses concurrents… Le succès fut rapide et dura jusqu’au début des années 90.
La micro-informatique, un chemin de croix tant pour les consommateurs que pour les constructeurs
Le chemin fut semé d’embûches pour les nombreux constructeurs qui se sont lancés dans la mêlée : aucun standard ne préexistait, il fallait tout inventer. Malheureusement, chacun a cherché à promouvoir son matériel sans se préoccuper du souhait du client final : acquérir une machine économe et avec une longévité commerciale supérieure à six mois. Beaucoup de produits sont sortis des rayons faute d’avoir trouvé leur public… pour d’autres, le prototype n’est jamais sorti du laboratoire…
La distribution de la micro-informatique
La démocratisation de la micro-informatique s’est accompagnée de la baisse des prix et de la distribution par les grandes surfaces (entre les paquets de lessives et les sodas). Les magasins de hifi et électroménagers ont ouvert un rayon micro qui d’années en années a pris plus de place.
L’absence de standard pèse sur le marché
Certaines initiatives isolées pour assurer l’interopérabilité des logiciels et périphériques entre machines de constructeurs différents ont vu le jour mais n’ont pas rencontrer de grand succès du fait de l’absence de soutien des constructeurs eux-mêmes…
Une tentative de standardisation des ordinateurs familiaux a vu le jour avec la spécification MSX qui assurait une compatibilité entre les machines quel que soit le fabricant. Une première (parallèle au standard professionnel “COMPATIBLE” PC).
Certains produits ont été des standards de fait comme la disquette 3″1/2 mise au point par SONY, immense succès (qui détrôna la cassette magnétique), d’autres des échecs cuisants comme la disquette Quick Disk Drive ou QDD (censée contrer la disquette 3″1/2 et ses coûteuses redevances).
Rareté et distribution exclusive entretiennent des prix élevés
Un phénomène récurrent de cette période aura été l’entretien de la rareté (et donc de prix élevés) par certains constructeurs sur les accessoires (par exemple pénurie de disquettes 3″ utilisées par un nombre de constructeurs réduits : AMSTRAD, ORIC…). Les importateurs profitent de leur exclusivité et pratiquent des prix élevés. Des marchés parallèles se développent.
La micro-informatique familiale : une succession de succès et d’échecs commerciaux
Au passage, on notera que la micro-informatique familiale française n’a jamais su vraiment sortir du lot. Plusieurs constructeurs, au premier rang desquels THOMSON, y ont pourtant investi temps et argent. Ce constructeur sera sorti du marché par la petite porte… D’une manière générale, le marché de l’informatique a connu des hauts et des bas ; certains ont tout perdu, d’autres, à l’image de Commodore, ont su rebondir. Le succès commercial d’un produit n’est pas la garantie de la pérennité de son constructeur, à l’image d’Oric dont la faillite a laissé un goût amer aux nombreux consommateurs qui ont cru en lui…
Comme beaucoup de nouveaux produits, les ordinateurs ont connu un effet de mode. Il s’en est vendu des dizaines de milliers sur une période courte alors même que l’utilisateur n’était pas formé : résultat des courses, beaucoup ont fini rangés bien sagement dans des placards ou à prendre la poussière sur le napperon de mémé dans la salle à manger ! Le rapport sur « l’état d’informatisation de la France » publié par l’Agence de l’informatique (ADI) révèle qu’en septembre 1985 il y aurait en France 970 000 ordinateurs domestiques (dont 70 000 inutilisés) soit un taux de pénétration de 4% contre 13 % aux Etats Unis.
La micro-informatique familiale dans les entreprises
Dans les années 80, toutes les entreprises n’avaient pas les moyens d’acquérir un IBM PC et ses coûteux logiciels. Aussi, certaines TPE, commerçants ou professionnels libéraux se munissaient d’ordinateurs familiaux nettement moins onéreux, que ce soient d’ATARI ST ou d’AMSTRAD CPC. L’entrée d’AMSTRAD sur le marché du PC a contribué à initier une baisse du prix des compatibles IBM et à accroître rapidement le degré d’informatisation des entreprises.
La démocratisation du PC et la mort de l’informatique familiale
Cette période de la micro-informatique familiale a trouvé son apogée au début des années 90 avec la baisse du prix des IBM PC et compatibles et l’arrivée des premiers ordinateurs familiaux 16 bits.
La démocratisation des PC, au départ réservés au monde de l’entreprise, a porté un coup de grâce fatal à la micro familiale qui n’a jamais pu se relever. Cette douce et tumultueuse période était révolue. AMSTRAD, par exemple, a vainement tenté de remettre au goût du jour sa gamme de CPC 464/6128 avec ses CPC+ (et même une console de jeu, la GX-4000)… trop tardivement.
En 1990, les ordinateurs 8 bits étaient ringardisés par les ordinateurs 16/32 bits, IBM PC & COMPATIBLES, ATARI ST et COMMODORE AMIGA en tête.
Les capacités techniques tant vidéo que musicales de ces machines n’avaient pas d’égales. L’informatique entrait dans l’ère du multimédia.
La micro-informatique aura ouvert une voie royale pour les langages de programmation. A l’époque point d’environnement graphique à la Windows ou Mac OS. Il faudra attendre l’arrivée des ATARI ST pour commencer à avoir des interfaces hommes/machines pilotées à la souris et ne nécessitant pas de programmation. En attendant, l’utilisateur devait programmer des instructions informatiques ne serait-ce que pour lancer l’exécution de ses logiciels, voire les programmer lui-même. Ainsi le langage BASIC, le plus répandu, était enseigné du collège au lycée. Les autres langages, assembleur, LOGO, PASCAL, C++… auront connu des succès variés.
Exemple de programme BASIC :
10 PRINT « BONJOUR »
20 GOTO 10
Conclusion
Pour résumer, la micro-informatique des années 80 aura connu divers constructeurs et micro-ordinateurs :
- Les pionniers : APPLE I, ZX 80, ZX 81,
- Les opportunistes : AMSTRAD,
- La renaissance : ATARI ST et COMMODORE AMIGA (16 bits),
- Et les tueurs : IBM PC & COMPATIBLES et Macintosh (Apple).
Finalement, si Apple a contribué à mettre à la portée de chacun la micro-informatique à la fin des années 70, c’est IBM qui en a tiré profit en proposant une machine professionnelle au début des années 80, devenue standard par la suite. Ce standard a sonné le glas des autres systèmes propriétaires (à l’exception notable du Macintosh). Quelques années plus tard, IBM a perdu son avance technologique… et de nouveaux constructeurs ont repris le flambeau du PC (beaucoup s’y sont brûlés les ailes : COMPAQ, HP, DELL…), au point qu’IBM a revendu sa branche PC (renommée LENOVO) à un chinois…
Il ne reste plus de cette période que quelques machines, pléthore de livres et magazines informatique, beaucoup de souvenirs… et quelques passionnés comme moi. N’hésitez pas à découvrir ma passion, ma collection et éventuellement contribuer à l’enrichir.
Benoît RIVIERE
Sélection d’articles sur le sujet :
- Machines à traiter l’information, Science & Vie (décembre 1959) : machines ultra-rapides auxquelles on a appris à calculer et raisonner
- Electricité et électronique au bureau, Science & Vie HS n° 61 (1962) : machine à dicter, enregistrement sur support magnétique à distance, machine à écrire électrique, reproduction de documents par l’électricité, héliocopie, xérographie, liaisons radio, machines comptables, calculateurs électroniques, machines à cartes perforées… : on ne parle pas encore d’informatique ou d’ordinateur mais l’automation fait son entrée dans les bureaux !
- INFORMATIQUE 73, Science & Vie HS n° 102 (mars 1973)
- Réalisez votre micro-ordinateur “Micro-Systèmes 1”, Micro-Systèmes n° 3 (janvier-février 1979), p. 33
- Naissance et évolution de l’industrie informatique, Micro-Systèmes n° 8 (novembre-décembre 1979), p. 13
- Avez-vous votre ordinateur personnel ?, Science & Vie n° 757 (octobre 1980), p. 126
- IBM attaque le marché des ordinateurs personnels, Micro-Systèmes n° 21 (janvier-février 1982), p. 155 : IBM lance son premier micro-ordinateur. Construit autour du microprocesseur 16 bits 8088 d’Intel, le système est déjà en vente aux Etats-Unis à des prix allant de 1565 $ à 4500 $.
- Les secrets de la réussite, Science & Vie Micro n° 22 (novembre 1985), p. 50 : alors que le secteur informatique subit de plein fouet une crise de jeunesse, certains acteurs du marché tirent leur épingle du jeu. Il en est ainsi de Compaq (constructeur américain d’ordinateurs professionnels) ou encore d’Amstrad (constructeur britannique d’ordinateurs familiaux et semi-professionnels à bas prix). La stratégie d’Amstrad, basée essentiellement sur le prix, souffre de faiblesses (choix des disquettes 3″ par exemple) qui tôt ou tard lui seront fatales.
- Etats Unis : la crise tourne à la débâcle, Science & Vie Micro n° 23 (décembre 1985), p. 14
- ATARI 520 ST, le deuxième souffle, Science & Vie Micro n° 25 (février 1986), p. 48
- La nouvelle norme IBM PC-AT, Science & Vie Micro n° 25 (février 1986), p. 54
- La Micro-Perestroïka, Science & Vie Micro n° 51 (juin 1988), p. 102 : l’URSS veut rattraper son retard en matière de micro-informatique
Les photos d’illustration sont issues de ma collection personnelle.
Approfondir le sujet :
L’informatique des années 80 / Ma collection / Ma documentation / Quelques idées de lecture
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Bonjour
je possède un ordinateur portable de 1982 style machine
Bonsoir,
Ah oui ? Quel modèle ?
Benoît
Pingback: Les ordinateurs calculent-ils faux ? | Audit & Systèmes d'Information
Bonjour,
j’ai un Sharp mz-700 (avec table traçante) dont je ne sais que faire.
je suis dans les Ardennes
avez-vous une solution ?
Merci
Bonsoir Madame,
Je vous contacte sur votre boîte mél.
Cordialement,
Benoît
ah la la, ça nous rajeunit pas tout ça ! J’ai toujours mon Apple //c à la cave, mais je l’ai ressorti cet été pour voir s’il marchait toujours… et oui, il marche toujours, les disquettes sont toujours lisibles… j’ai pu rejouer à de vieux jeux, et redécouvrir les premiers programmes que j’ai développé au milieu des années 80…
bonjour ; je possède un ordi acheté en 1985 ; de marque RADIOLA type VG5000 ;fonctionnant avec un
magnétophone à cassettes et sur téléviseur : en bon état;
pourriez-vous me dire ca valeur et un site de collectionneurs…
Amicalement; MERCI
Ces machines, Apple en tête, trente ans après sont toujours opérationnelles. Pas sûr qu’il en sera autant des machines qu’Apple vend actuellement…
Bonsoir,
Je ne donne pas de valeur à votre machine. Le prix d’une machine dépendant de divers critères dont le prix que l’acquéreur est prêt à y mettre (quelques dizaine d’euros).
Comme sites de collectionneurs, je peux vous conseiller : http://forum.system-cfg.com/index.php et http://www.silicium.org/forum/index.php.
Bien cordialement,
Benoît RIVIERE
Bonsoir Monsieur;
Suite à ma demande d’avis sur un eventuel pogramme , “BASIC” , à partir des connectiques audio-visuels professionnels.
Je vous remercie beaucoup , pour vos artices éclairés sur le ZX-81; qui vont certainement beaucoup m’inspirés, n’ayant pas encore pris le temps de tout lire; mais en tout cas : MERCI
emmanuel
Mon premier: le TRS 80 de chez Tandy. Résolution: 127×47 pixels (plutot rectangles). 16 K de RAM avec Basic intégré. Chargement des programmes pas magnéto à cassette. 12 mois de crédit pour le payer (5000 F à l’époque).
Quel luxe!
Jean-Louis
j’ai un ordinateur sharp ecran clavier et magnetophone à cassette avant de le mettre à la poubelle interresserait-il un collectionneur ? Je suis à Toulon
Bonjour,
Oui, bien sûr. Pourriez-vous préciser le modèle ?
J’ai déjà ce modèle-ci dans ma collection : https://www.auditsi.eu/?page_id=5697.
Bien cordialement,
Benoît RIVIERE
Tombé par hasard dans ce forum, je suis a la recherche de 2 des 3 livres dont je fut l’auteur/co-auteur dans les années 80. La pratique du trs80 ( modele1) Tome 1 et 2 et le système d’exploitation ‘Prologue’ de Bull Micral ex R2E aux éditions Test. Je n’ai malheureusement plus conservé mes Trs-80 midèle 1 et 3.
Bonjour,
Vous les recherchez ?
Je vous encourage à aller faire un tour sur le site forum.system-cfg.com qui est un repaire de passionnés d’informatique des années 80. Peut-être pourrez-vous y retrouver un de vos ouvrages.
Si vous avez écrit des articles dans des journaux de l’époque, je devrais pouvoir les retrouver, j’ai de très nombreuses publications dans ma collection.
Bien cordialement,
Benoît
Bonjour,
je suis étudiant en master de recherche en histoire à Arras. Je porte mon mémoire sur l’informatisation de la société française et particulièrement au rôle de l’Etat. Je me demande si vous auriez la connaissance des principaux plans misent en place par l’Etat pour développer l’informatique et informatiser le pays?
Je vous remercie d’avance de votre réponse.
Bien à vous,
Maxime
Bonjour,
J’ai le souvenir du plan calcul de De Gaulle (années 60 ?) pour lequel je ne dois pas avoir de documentation et du plan IPT lancé en 1985 par le gouvernement Fabius pour enseigner l’informatique dans les écoles (cf à ce sujet : https://www.auditsi.eu/?page_id=2333). Au sujet de l’information société : https://www.auditsi.eu/?page_id=3166.
Si vous avez besoin d’autres informations, il faudrait que vous me donniez des dates ou des noms pour que je recherche dans ma documentation. Pour consulter la presse informatique des années 80 : https://www.auditsi.eu/?page_id=2222.
Bon courage pour la rédaction de votre mémoire (que je serais ravi de lire si vous en étiez d’accord).
Bien cordialement,
Benoît
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