EXCEL, VBA : Valoriser un stock selon la méthode du PEPS (FIFO) à partir des mouvements d’une référence donnée

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Le contrôle des valorisations de stocks selon la méthode du CUMP (coût unitaire moyen pondéré) ne pose généralement pas de difficulté majeure sous EXCEL pour l’auditeur. La méthode du PEPS (Premier Entré Premier Sorti ou FIFO en anglais) est quant à elle moins facile à mettre en œuvre. La procédure fournie ci-après se propose de calculer la valorisation d’une référence de stock donnée à partir des mouvements entrées/sorties.

Exemple de mouvements entrées/sorties (onglet Feuil1) :

Date mvt Qté PU
01/01/2010 10 12
01/02/2010 25 13,5
23/02/2010 -30 17
01/03/2010 50 14
15/04/2010 120 13,8
18/04/2010 -70 16,2
19/04/2010 30 13,1
22/04/2010 50 12,9
25/04/2010 -10 15

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Assurer la cohérence des travaux du commissaire aux comptes de l’orientation de la mission à la formulation de l’opinion avec l’aide du VBA

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Un des points cruciaux dans la formalisation des travaux d’audit est de maintenir la cohérence entre toutes les tâches du processus d’audit mis en œuvre par le commissaire aux comptes : de l’orientation de la mission (formalisée dans le mémo d’approche) à la formulation de son opinion dans son rapport sur les comptes annuels en passant par le programme de contrôles des comptes et les synthèses de cycles. Toute la difficulté est de conserver un fil conducteur constant entre toutes ces étapes. En effet, l’audit est décomposé en plusieurs étapes étalées dans le temps et mené par différents intervenants selon leurs compétences et disponibilités (assistance aux inventaires, intérim, revue du système d’information…).

Le commissaire aux comptes doit communiquer avec ses équipes et formaliser cette communication à l’aide d’un outil centralisant pour chaque étape d’audit les données essentielles (approche des risques, suivi des recommandations, travaux restant à réaliser, objectifs d’audit, mise à jour des risques et objectifs en cours de mission…) ; ces informations devant ensuite être restituées aux auditeurs au moment opportun (par le biais d’un plan de mission, de programmes de travail…). Cette restitution s’effectue entre autres au moment de la rédaction par l’auditeur de la synthèse d’un cycle d’audit.

La centralisation et la restitution de ces informations peuvent être utilement automatisées à l’aide d’une application d’audit générant des synthèses d’audit ; celles-ci pourront rappeler de manière exhaustive les objectifs d’audit poursuivis paramétrés selon les souhaits du commissaire aux comptes. Dans ce cadre, le VBA, langage de développement intégré à EXCEL, permet de déployer rapidement des applications souples et personnalisables. A titre d’exemple, le lecteur trouvera en bas de page quelques lignes de code VBA qui assurent au commissaire aux comptes la sérénité dans la supervision de ses mandats ainsi que le résultat de l’exécution de cet extrait de code dans une synthèse de cycle (l’auditeur n’a plus qu’à compléter la synthèse selon les prescriptions du signataire) : cf lien en bas de page.

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Vu sur le web : “Comment détecter les présentations trompeuses de résultats”

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J’ai lu un article très intéressant sur la perception de la régularité de la présentation des comptes au travers de la communication des directions financières. Cette approche me semble assez intéressante bien qu’en marge du sujet principal de ce blog.

Extraits :

Il semblerait que les propos tenus par les dirigeants et les directeurs financiers sur leurs résultats trimestriels soient de meilleurs révélateurs de la santé réelle de leur entreprise que les états comptables.

Telle est, tout du moins, la conclusion de l’étude menée par deux chercheurs de l’université de Stanford David Larcker et Anastasia Zakolyukina.

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Détermination des honoraires de commissariat aux comptes : application du barème d’heures de la CNCC et apport de valeur ajoutée

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Le montant des honoraires rémunérant l’audit légal est déterminé librement entre le commissaire aux comptes et l’entité auditée et formalisé dans une lettre de mission (NEP-210). Toutefois, le législateur a choisi d’encadrer la fixation de ces honoraires par un barème d’heures (1) afin de maintenir un niveau de diligences permettant au commissaire aux comptes d’assurer sa mission d’intérêt public dans des conditions normales.

Ce barème a un caractère indicatif. Le commissaire aux comptes a donc la possibilité de demander, à la Compagnie Régionale dont il dépend, une dérogation au barème d’heures, s’il estime que des critères objectifs lui permettent de réduire ses temps d’intervention sans nuire à la qualité de ses travaux de certification des comptes : présence d’un expert-comptable sécurisant la production comptable, prépondérance de certains types d’actifs ou de passifs (trésorerie, immobilisations…), qualité du contrôle interne… Le commissaire aux comptes effectue cette démarche sous sa responsabilité et en accord avec son client.

La crise actuelle a pour corollaire une recherche continuelle de sources d’économie de la part des directions d’entreprise. L’audit légal n’échappe pas à cette tendance de fond. Le commissaire aux comptes doit défendre sa mission et ses budgets… faire preuve de pédagogie et développer sa communication. Il doit faire l’effort d’apporter de la valeur ajoutée à sa mission. Si les opérations comptables courantes sont généralement bien maîtrisées par les services comptables internes, la revue du fonctionnement du contrôle interne et du système d’information appelle souvent à des recommandations.

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